Les mêmes ingrédients, mais en quantité plus importante. Pour son édition 2025, le comité organisateur de la Super Aito a vu plus grand que l’an passé. De 12 à 20 bateaux suiveurs, et de 2 à 5 jetski, pour diminuer au maximum les risques d’accidents au niveau des rameurs, mais pas seulement.

« Il y a aussi le côté sécurité de la course. C’est les bateaux parents, amis, clubs qui viennent. On a augmenté le nombre de bateaux qui constituent la sécurité générale, pour faire en sorte que les rameurs pourront se battre entre eux sans qu’il y ait d’aide extérieure » , glisse le fondateur de la course Mara Aitamai.

Des juniors aux vétérans 60 ans, ils sont 96 inscrits à la Super Aito 2025. Une édition en deux étapes cette fois-ci, avec une première étape 17 kms entre Pirae et le motu Martin de mahina, et une seconde étape, longue de 15 km entre Pirae et la baie de Matavai. « On est toujours dans cet esprit de préparer la World Tour de 2030. Et donc, ça fait trois ans qu’on change tous les ans. Et ça vient de mettre du piment dans le spectacle, parce que celui qui aura mal fait sa première étape aura peut-être l’occasion de se rattraper sur la deuxième et vice-versa » , ajoute Aitamai.

Autre annonce, l’organisation du Super Aito vahine pour l’année 2026. Du côté des hommes, est-ce Kyle Tarafau va garder sa couronne, ou sera-t-il battu ? Réponse ce samedi.