Une première plainte avait été déposée en octobre 2024 par une octogénaire pour qui le jardinier travaillait. La dame a raconté s’être « retrouvée dans son lit, couverte d’un simple drap » après avoir bu un café avec Maui R. En janvier 2025, deux autres femmes, des sexagénaires, ont également déposé plaintes. L’histoire se répète : elles expliquent s’être réveillées dans leur lit après avoir bu un café avec lui. L’homme a été placé en garde à vue puis mis en examen. Des anxiolytiques ont été retrouvés à son domicile.
Le père de famille a d’abord reconnu avoir agressé une quinzaine de femmes dont des mineurs. Vingt-deux victimes ont finalement été identifiées. En octobre 2024, il viole une amie qui l’héberge après avoir mis des tranquillisants dans sa bière. Deux jours plus tard, il drogue un couple d’amis et viole l’épouse dans le lit à côté de son mari inconscient. « Je les ai drogués tous les deux et j’ai violé X ce soir-là », a-t-il expliqué lors d’une de ses auditions. Des propos retranscrits par Le Parisien.
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L’homme, père de famille, a déclaré avoir filmé les faits et agi « sous l’emprise de la cocaïne ».
De nouvelles poursuites pour sept viols aggravés, une tentative, deux soumissions chimiques sans passage à l’acte, des captations d’images intimes ont été réclamées par le parquet de Montpellier, selon Midi Libre.
