Une introduction sans pincettes, puis un projet original, parfois poétique, pour comprendre et se souvenir. Le projet soumis le 30 septembre à Moetai Brotherson est inspiré du travail de spécialistes de nombreuses disciplines, mais il a essentiellement été rédigé par la directrice de la DSCEN, Yolande Vernaudon. Une rédaction loin de faire consensus, surtout sur les parties annexes.
Plus qu’un musée, elle propose de faire de Pū Mahara un centre d’interprétation. Pour dévoiler non pas une vérité, mais des clefs pour comprendre, chacun avec son approche. Un lieu « vivant » et non une sépulture, qui permettra à la fois de se recueillir et de créer, puisqu’il sera ouverts aux arts et aux débats. Sa construction devrait être achevée fin 2030.
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Facétie de l’histoire ou symbole politique : le Centre de mémoire sera construit à côté du Parc Bougainville… sur un ancien terrain militaire cédé par la France et face au Haut-Commissariat.
A l’image de ce projet vivant et ouvert sur le monde, TNTV vous propose de le lire et de vous faire votre propre opinion :