Cette mesure s’inscrit dans la politique du gouvernement lancée en 2023, qui a déjà permis la traduction de plus de 500 textes normatifs notamment la loi organique statutaire et les lois du pays les plus structurantes, ainsi que la création d’un site miroir de lexpol en tahitien.
« Ce mouvement témoigne de l’engagement de notre gouvernement à inscrire la langue tahitienne dans la durée, en lui conférant toute sa place dans l’action publique, et en renforçant la reconnaissance de notre identité nationale, » indique le compte-rendu du Conseil des ministres.
Une circulaire expliquera la mise en oeuvre progressive de cette obligation, attendue avant la fin de l’année.
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Une mission exploratoire du gouvernement, menée à Wellington, en Nouvelle-Zélande, du 16 au 23 mai dernier, avait confirmé la pertinence de cette approche et la nécessité d’aller encore plus loin.