“On va faire une petite image, c’est comme une cloche de verre et nous, le gouvernement, les représentants, on dit qu’allons nous mettre sous cette cloche vitale pour que quoi qu’il nous arrive, si on doit redémarrer quelque chose, les données elles sont là et on repart”, explique l’élue. Et de prévenir “Aujourd’hui ces données elles ne sont pas là, elles sont hébergées aux États-Unis, elles sont hébergées en France. Ces données nous appartiennent. Si on parle de souveraineté, ça ce sont des données souveraines et elles doivent rester ici et elles doivent être protégées.”
Selon Teave Chaumette, la Polynésie “dispose des moyens techniques et humains” pour créer un tel centre. Le blocage serait uniquement politique, ses courriers adressés au président du Pays étant restés sans réponse.