Récemment, une plainte a été déposée à la brigade de Moorea pour une agression sexuelle survenue lors d’un cambriolage.
« Grâce au travail des techniciens en identification criminelle de proximité », les enquêteurs ont pu mettre « au jour une trace ADN déterminante » qui a permis d’identifier l’auteur des faits, rapporte la gendarmerie sur ses réseaux sociaux.
Le mis en cause a été interpellé dans la foulée. Il a reconnu en garde à vue « son implication dans l’agression » alors qu’il se trouvait sur place pour cambrioler.
Son empreinte génétique a également permis de le relier à 10 cambriolages commis entre juin 2024 et août 2025. Des vols dont le préjudice total se chiffre à « plusieurs centaines de milliers de francs ».
L’individu a été déféré au palais de justice, ce mercredi. Il sera jugé en comparution immédiate différée.
« Par ailleurs, l’interpellation de deux complices présumés ce week-end lors d’une opération conjointe de la brigade territoriale de Moorea et de la brigade mobile de Haapiti » a mis « un coup d’arrêt aux cambriolages qui touchent notamment le secteur de Haapiti », conclut la gendarmerie.