L’île des Pins, destination touristique au sud de l’archipel, avait été placée en alerte cyclonique maximale de grade 2, durant la nuit de vendredi à samedi, tandis que le reste de l’archipel était en pré-alerte.
Au plus près, le phénomène, qui engendrait des fortes pluies et des vents pouvant atteindre 130 km/h, est passé à environ 100 kilomètres au large de l’île des Pins, où des mesures de précaution avaient été prises par les services de secours et des lieux d’hébergements publics ouverts à la population.
« Il n’y a que des dégâts sur la végétation, aucun bâtiment n’a été endommagé », a indiqué à l’AFP la responsable d’un hôtel.
Dans un communiqué, la direction de la sécurité civile a confirmé que « les premières remontées d’information ne faisaient état d’aucune victime imputable au phénomène, ni d’habitation détruite ». Les réseaux d’électricité et de communication n’ont pas subi d’impact.
Au plus près, le phénomène, qui engendrait des fortes pluies et des vents pouvant atteindre 130 km/h, est passé à environ 100 kilomètres au large de l’île des Pins, où des mesures de précaution avaient été prises par les services de secours et des lieux d’hébergements publics ouverts à la population.
« Il n’y a que des dégâts sur la végétation, aucun bâtiment n’a été endommagé », a indiqué à l’AFP la responsable d’un hôtel.
Dans un communiqué, la direction de la sécurité civile a confirmé que « les premières remontées d’information ne faisaient état d’aucune victime imputable au phénomène, ni d’habitation détruite ». Les réseaux d’électricité et de communication n’ont pas subi d’impact.
A Nouméa et dans le sud de la Grande-Terre, seuls des dégâts mineurs à la végétation et dans les marinas ont été signalés.
« Gita s’éloigne vers le sud-ouest en faiblissant et la population est invitée à reprendre normalement ses activités », a précisé la sécurité civile.
AFP