L’ensemble des projets de lois, délibérations et arrêtés à portée permanente feront désormais l’objet d’une traduction en reo mā’ohi.
Le projet doit aussi permettre de constituer un « référentiel juridique unifié en tahitien », c’est-à-dire créer un lexique « juridico-linguistique commun garantissant la cohérence des traductions », peut-on lire dans le compte-rendu du conseil des ministres ce mercredi.
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