« La commune déplore ne pas avoir été préalablement informée de ces résultats par l’Agence de Régulation de l’Action Sanitaire et Sociale (ARASS) », peut-on lire dans un communiqué sur ses réseaux sociaux.
Elle considère que cette absence d’information préalable a provoqué « une situation regrettable de confusion » qui porte atteinte à son « image ».
« Nous tenons à rappeler qu’il s’agit d’un cas isolé, survenu dans le cadre d’une action caritative. Cet évènement ne remet en aucun cas en cause le professionnalisme, le sérieux et l’intégrité des restaurateurs, des traiteurs, des pensions de familles, des hôtels ainsi que des excursionnistes qui accueillent les visiteurs et résidents tout au long de l’année », écrit la commune.
« Rangiroa compte de nombreux professionnels reconnus pour leur qualité de service et leur réputation locale, nationale et internationale », poursuit l’équipe municipale qui « souhaite réaffirmer son soutien plein et entier à l’ensemble de ces acteurs ».
Elle ajoute qu’elle « restera mobilisée pour défendre l’image de Rangiroa et veiller à ce que les échanges institutionnels se déroulent avec respect, transparence et coordination ».
Une toxi-infection alimentaire collective (TIAC) est survenue sur l’atoll le 26 octobre, touchant environ 80 personnes et faisant un décès.



